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Articles by Dennis Fisher

UNE HAINE AUTO-DESTRUCTRICE

George Washington Carver (1864-1943) a dû surmonter de terribles préjugés raciaux pour devenir un éducateur américain réputé. Refusant la tentation de s’abandonner à l’amertume à cause du traitement qu’on lui avait réservé, Carver a écrit avec sagesse : « La haine intérieure finira par détruire celui qui la nourrit. »

AVEC DIEU TOUTE LA JOURNÉE

Frère Laurence (1614-1691) se sentait intimement près de Dieu lorsqu’il récurait casseroles et poêlons dans la cuisine du monastère. Il consacrait sûrement des moments particuliers à la prière, mais ce qu’il trouvait le plus susceptible de transformer sa vie, c’était la prière au cours de sa journée de travail. Dans son livre de méditation classique intitulé Practicing the Presence of God , il a dit : « Nous nous leurrons grandement si nous croyons que nos temps de prière doivent être différents des autres temps. Nous sommes dans la plus stricte obligation de nous attacher à Dieu tout autant par l’action en période d’action que par la prière en période de prière. » Bref, il nous incitait à « [prier] sans cesse » (1 Th 5.17).

PORTES OUVERTES

Le philosophe danois Søren Kierkegaard (1813-1855) a écrit : « Si je devais émettre un vœu, je ne voudrais ni richesse ni puissance, mais […] l’œil qui, toujours jeune, toujours brûlant, découvre partout le possible. »

PAS DE PLUS GRAND AMOUR

Bill et sa femme traversaient les Rocheuses lorsque, pour éviter de peu un camion, leur voiture a quitté la route et a plongé dans la rivière Colorado. Après s’être extirpés de leur véhicule qui coulait, ils se sont mis à nager frénétiquement contre un courant puissant. Ayant été témoin de l’accident, un camionneur a couru se poster plus loin au bord de la rivière et leur a jeté une corde. Bill, qui nageait derrière sa femme, l’a alors poussée de manière à ce qu’elle puisse saisir la corde, et l’homme l’a sortie de l’eau. Emporté par le courant, Bill n’a toutefois pas survécu. Il avait donné sa vie pour la femme qu’il aimait.

CANALISER SA PUISSANCE

Lycéenne, Tarah craignait de plus en plus d’avoir un jour à combattre une maladie grave. Elle s’est donc mise à prier pour que Dieu lui épargne cette maladie imaginaire. Puis elle a atteint un tournant dans son mode de pensée, si bien qu’elle a confié son avenir à Dieu coûte que coûte.

UN MOT À CELUI QUI EST ABATTU

Les Israélites éprouvaient des difficultés. Les Babyloniens les avaient emmenés en captivité et forcés à vivre dans un pays lointain. Qu’est-ce que le prophète Ésaïe pouvait donner à ces gens épuisés pour leur venir en aide ?

LE GANG DES DALTON

Les frères Dalton étaient des hors-la-loi tristement célèbres qui ont vécu aux États-Unis dans les années 1800. Au début, ils respectaient et faisaient respecter la loi. Puis ils se sont graduellement abandonnés à une vie de crime et ont fini par se tailler une réputation de cambrioleurs de banques et de trains. Leur carrière a pris fin le jour où ils ont tenté de braquer deux banques à la fois. En découvrant que ces cambriolages avaient cours, les habitants de la ville se sont armés et ont ouvert le feu sur le gang des Dalton. Une fois la fumée dissipée, on a constaté que seul Emmett Dalton avait survécu à la fusillade.

LE DIABLE JUGÉ

Le diable et Daniel Webster est une nouvelle de Stephen Vincent Benet. Elle raconte que Jabez Stone, un fermier de la Nouvelle-Angleterre, est « malchanceux » au point de vendre son âme au diable pour obtenir la prospérité. Le diable finit par se présenter à Jabez pour percevoir le paiement de sa dette. Toutefois, l’éminent avocat Daniel Webster est appelé à assurer la défense du diable. Par une série d’arguments habiles, Webster gagne sa cause contre le diable, et Jabez échappe à la perdition.

LES AVANTAGES DE L’AMITIÉ

Cicéron était l’un des plus grands penseurs de l’Empire romain. C’était un orateur, avocat, politicien, linguiste et auteur exceptionnel. On le cite encore aujourd’hui pour sa prose claire et sa sagesse pratique.

PLAIDER LA CAUSE DU SEIGNEUR

Charles Finney, un avocat de 29 ans, se préoccupait du salut de son âme. Le 10 octobre 1821, il s’est retiré dans une région boisée non loin de chez lui pour prier. Là-bas, il a fait l’expérience profonde de la conversion. À ce sujet, il a écrit : « On aurait dit que le Saint-Esprit m’avait traversé le corps et l’âme. […] En effet, j’avais l’impression que des vagues d’amour me submergeaient. »